Khan.(2, c'est d'abord un duo, Gwendal Ollivier et Philippe Clemenceau, qui, au milieu des années 90, avait été remarqué dans l'expérience Shere Khan, une formation résolument rock / new-wave, où la voix, en français dans le chant, était portée par des guitares complices.

En 2013, les deux musiciens se retrouvent et signent :
  "Khan" demeure et marque la résonance, l'écho, la persistance du premier échange ;
  ".(2 " nous rappelle que l'on entre dans la deuxième époque du même duo, et, dans son évocation du langage informatique, arrive comme un signal menant vers plus de machines et d'électronique.

Khan.(2 est tout cela en effet.
Le chant, toujours en français, de Gwendal Ollivier – il a convoqué cette fois quelques amitiés pour l'écriture de nouveaux textes en appoint des siens - est introduit par ses guitares envoûtées auxquelles répondent les basses et les rythmiques syncopées de Philippe Clemenceau.
La voix s'efface et s'absente parfois pour laisser toute la place à de longues envolées où une electro-dance nerveuse et une transe purement rock jouent la dispute.

 

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